Contes Sidéraux
Avant - propos Les données concernant les combats au  sabre laser sont extrêmement nombreuses et versatiles. Ainsi, la  nomenclature même des Formes connut plusieurs versions.  Retenons  ici la plus récente, datée du tournage de l'Episode III, et dont l'étude est fondée sur des notes de  George Lucas lui - même à l'intention de Nick Gillard et des acteurs, lisibles dans les archives du Skywalker  Ranch, et dans certaines novélisations ou articles.  Les informations complémentaires viennent essentiellement de l'étude des films.  D'autre part, pour alléger les exemples de chaque Forme, ne sont cités que des bretteurs dont les combats  sont visibles dans les films.  Le  sabre laser était une arme de mêlée principalement utilisée par les Jedi et les Sith.  ( Sith sont les principaux antagonistes de l'ordre Jedi, leurs ennemis jurés, dont ils constituent une branche schismatique, et  une menace pour la République galactique. Ils revendiquent leur maîtrise du « côté obscur de la Force », ce à quoi les Jedi  répondent  qu'ils en sont seulement les esclaves.) Il s'agissait d'une sorte d'épée possédant une lame de plasma alimentée par un cristal Kyber et émise depuis  une poignée métallique. Cette arme nécessitait un entraînement et son utilisation était grandement amélioré e  lorsque son utilisateur avait recours à la Force.  Bien qu'il fut aussi manié par les Sith, le sabre laser est le symbole des Jedi » .  Nombreux furent ceux dans la galaxie à croire que seuls les représentants de l'Ordre Jedi maniait cette  arme.  Un sabr e laser pouvait être utilisé aussi bien pour l'attaque que pour la défense. Il pouvait pratiquement tout  couper à l'exception de quelques matériaux, parmi lesquels figuraient les bâtons électrique des Magna Gardes  IG - 100 ou les bâtons antiémeute Z6. Quand  il était utilisé de manière défensive, la lame du sabre laser  permettait de dévier les tirs de blaster voire même de les renvoyer vers l'endroit d'où ils avaient été tirés.  Un Jedi expérimenté était même capable d'utiliser son sabre pour absorber la Foudre Sith. Utilisé dans sa forme la plus courante avec une lame simple, il était toutefois possible de croiser des sabres  laser à double lame. De plus, certains bretteurs étaient capables de manier plusieurs sabres en même temps.  Environ une trentaine d'année s après la Bataille d'Endor, Kylo Ren utilisait un sabre laser à lame rouge dont  la poignée possédait deux quillons laser. Son cristal Kyber était fêlé, ce qui rendait la lame instable  contrairement à celle des sabres laser réguliers. 1 - Présentation du projet global Sabre Laser et Para Sabre Laser 1 .1 Le Sabre  Laser. Qu’ est - ce que le Sabre Laser ?  Le Sabre Laser est un nouveau sport de combat, conçu pour créer des duels épiques avec de magnifiques armes lumineuses. Il s’ agit d’ une opportunité pour les individus de s’ exprimer, et d’ explorer les très  nombreuses cultures du sabre et du bâton à travers le monde, à travers  l ’histoire et  au - delà ! C’est un Sport. – Sécurisé et Compétitif  – C’est un Art. – Une forme d’ expression, un voyage intérieur  – C’ est un Divertissement. – Agréable pour les spectate urs, Agréable pour les combattants  – 1 .1.1 Les principes de bases - Une piste carré e de 8x8 Cela permet des combats dynamiques et intenses. Cette dimension ainsi définie autorise une approche  tactique du combat tout en évitant le refus de  combattre. Un équilibre entre attaque et défense est donc  possible. - Efficacité de la touche C est l’ élément primordial. Elle doit suffisamment être efficace  pour être visible par les arbitres. On  introduit ici le principe d’ une intention claire de touche rr une zone précise. - Touche armée Arm é e : l ’ arc de coupe minimum pour une touche valide est de 90°. Il se mesure par la position de la pointe du  sabre au départ de la frappe, dans le plan perpendiculaire à l’ adversaire et passant par le centre de la mai n  avant du combattant. On parle alors d’ un armé. La tête / le tronc (vitale) : lorsque l’ attaque arm é e porte (touche). Elle rapporte 3 points. Membres (secondaire) : elle rapporte 1 point. - Arbitrage Le combat est dirigé par un arbitre central qui est l ’ autorité durant l’ affrontement. Il est assisté par un  arbitre dit ‘ »miroir » et un arbitre vidéo lors des compétitions officielles. .1.2 Les 10 règles du combat au sabre laser Le Combat Sportif au Sabre Laser est une nouvelle forme d’escrime  sportive de loisir. Il se caractérise par  la manipulation d’un instrument spécifique appelé « sabre laser », qui est codifiée dans diverses formes de  combat à l’arme blanche. Le Combat au Sabre Laser est une discipline au caractère unique, qui conjugue  inn ovation et originalité. Il utilise une technique spécialement développée qui ne peut être utilisée  efficacement qu’avec les spécificités  – imaginaires  – d’un « sabre laser », ou simplement « sabre ». Il s’agit  d’une arme blanche dont la lame n’a aucun poid s. Son tranchant théorique est de 360° et elle est capable de  tailler dans toute matière autre qu’une lame de sabre laser. 1  Le sabre laser Trois types de sabres laser peuvent être utilisés pour ce sport: les sabres longs, courts et doubles. Le « sabre long » (ou simplement « sabre laser ») doit avoir une poignée de 26 à 32 cm de longueur. La lame  doit dépasser de la garde d’exactement 87 cm. La poignée doit peser entre 500 et 700 g. Le « sabre court » (ou simplement « dague laser ») doit avoir une gard e de 18 à 26 cm de longueur. La lame  doit dépasser de la garde d’exactement 66 cm. La poignée doit peser entre 400 et 600 g. Le « double sabre » (ou « bâton laser ») doit avoir une poignée de 40 à 50 cm de longueur. Les lames doivent  dépasser de la garde d ’exactement 76 cm. La poignée doit peser entre 600 et 800 g. Dans tous les cas, la lame doit être un tube de polycarbonate creux de 2 mm d’épaisseur pour 25 mm de  diamètre, et son extrémité doit être ronde et non ogivale (pointue). Lorsque l’interrupteur a été activé et que la lame est illuminée, le sabre est considéré comme « armé ».  Dans le cas contraire, il est dit « désarmé ». Les sabres sans lumière ni son sont interdits. Les poignées ne doivent pas avoir de pièces coupantes, saillantes ou dangereuses dans le cas où elles  entreraient en contact avec le corps de l’adversaire. Dans les compétitions officielles, il est interdit de porter des lunettes de vue (à l’exception des lunettes de  sport destinées à protéger les yeux), des bijoux ou des piercings ex ternes. 2  - Tenue de combat Dans les compétitions officielles, chaque combattant doit porter l’uniforme approprié à son rang. L’uniforme  du Rang d’Initié se compose d’un t - shirt, d’un pantalon, de gants et d’une coquille (obligatoire pour les  hommes). Ce lui du Rang de Padawan inclut une ceinture à la liste qui précède. L’uniforme du Rang de Jedi se compose d’une sous - tunique, d’une tunique, d’un pantalon, de gants et d’une  coquille (obligatoire pour les hommes). Aucun vêtement ni accessoire autres que  ceux définis comme faisant partie de l’uniforme officiel ne sont  autorisés. Toute autre protection est à la discrétion du combattant. Dans les compétitions officielles, il est interdit de porter des lunettes (à l’exception des lunettes de sport  destinées à protéger les yeux), des bijoux ou des piercings externes. 3 - Types de combat En ce qui concerne le nombre de combattants, la norme est le duel à un contre un. D’autres variantes sont  cependant prévues et réglementées, comme par exemple les duels de  couples, à un contre plusieurs, par  équipes ou encore en groupes. Concernant le type du sabre laser, les combats suivants sont officiellement autorisés: – 1 sabre laser contre 1 sabre laser (standard pour les adultes) – 1 dague laser contre 1 dague laser ( standard pour les enfants jusqu’à 12 ans) – 1 sabre laser contre 2 dagues lasers – 2 dagues lasers contre 2 dagues lasers – 1 sabre laser contre 1 sabre double – 2 dagues lasers contre 1 sabre double 4  - Taille de l’arène En compétition officielle, l’arè ne de combat peut être rectangulaire ou ronde. Aucune autre forme n’est  autorisée. L’arène rectangulaire mesure 5 x 8 m, avec une zone de sécurité d’au moins 50 cm sur chaque côté. L’arène circulaire mesure 8 m de diamètre, avec une zone de  sécurité d’au moins 50 cm sur toute sa  circonférence. Les combats libres menés en dehors des structures académiques peuvent se dérouler sur toute surface  définie par les participants, à la condition qu’elle soit comprise entre 2 et 200 m². 5 - La cible L e corps tout entier est considéré comme une cible valide. Les avant - bras depuis le coude jusqu’à l’extrémité des doigts, et les jambes depuis les genoux jusqu’aux orteils  sont définis par le terme IH (cible non mortelle). Tout le reste du corps est défini  par le terme OH (cible mortelle). La poignée du sabre laser, c’est - à - dire toute partie autre que la lame, est considérée comme une cible IH. 6  - Score Une victoire peut être attribuée soit à la première touche, soit en fonction du score. Dans le cas d’un e victoire au score, tous les éléments décrits ci - dessus rapportent un point. La victoire finale est acquise en atteignant le nombre de points définis dans le règlement de la compétition,  par la fédération nationale ou, dans le cas d’un combat libre, par l es combattants eux - mêmes. 7  - Validité des coups Les fentes ou autres mouvements entraînant un contact direct avec la pointe ne sont pas autorisés. Par ailleurs, même s’il s’agit d’une cible valide, la zone du visage est particulièrement sensible et  doit être  évitée autant que possible. Un sabre désarmé est considéré comme non - existant et tous les coups portés alors qu’il se trouve dans cet  état sont donc invalides. Les coups portés avec la lame sur les mains en position de garde ne sont pas considéré s comme valides. Sont  en revanche considérés comme valides les coups d’arrêt consistant à intercepter les mains de l’adversaire  lors d’une attaque ou d’une défense. Les attaques bloquées sont considérées de façon dynamique. Ainsi, par exemple, un coup par  le haut intercepté  sur la main provoquera une chute gravitationnelle du sabre, avec toutes les conséquences qui en découlent si  la lame n’est pas couverte. L’utilisation des mains et des pieds pour effectuer des blocages, prises, soutiens et projections es t tolérée. 8  - Durée du combat En règle générale, un combat officiel n’est pas limité dans le temps. Dans les compétitions officielles, une règle spécifique peut imposer une limite de temps maximale à un combat,  ou un temps durant lequel un coup sur une cible OH doit être porté. 9  - Loyauté Un combattant subissant une touche IH ou OH doit se déclarer. Conformément à la règle Se.Cu.Ri, chaque combattant doit s’assurer que son adversaire n’est pas blessé, par  un contrôle proportionnel à son propre nivea u d’expérience. 10  - Juges de compétition Les juges peuvent être amenés à demander à d’autres élèves (un à trois maximums, et de rang Padawan au  minimum) de les assister dans l’arbitrage des rencontres, notamment en leur affectant des tâches de  surveill ance spécifiques telles que le respect de la zone de combat ou du chronomètre. Si aucun personnel certifié n’est présent, les compétitions peuvent être arbitrées par des juges sélectionnés  par l’organisateur, selon les lignes directrices données sous toute forme que ce soit (y compris verbalement)  par la SLM. Le juge attribue les points, les avertissements et les pénalités selon le règlement en vigueur et déclare le  vainqueur du combat. Il peut également décider de ne pas attribuer un point en cas de doute  sur une action,  ou de visionner des sources vidéo (si elles existent) pour des questions techniques, de scores ou des mesures  disciplinaires. Enfin, il peut interrompre le combat, de lui - même ou à la demande d’un de ses assistants ou des combattants,  pour  des raisons de sécurité ou pour protéger les combattants. Si le juge a été désigné ou nommé, son jugement est final et sans appel. Les rencontres libres  – y compris officielles  – entre élèves peuvent se dérouler en l’absence d’un juge. . 1 Le Para  Sabre Laser (Atelier  pratique inclusive APA) Dispositif ludique vers la pratique de l’escrime en DV (Déficience Visuelle) . Pour la pratique inclusive des activités physiques adaptées.  Inspiré de l’Univers Star Wars, il s’agit d’un prototype d’actions  « audio ». Le principe est de simuler un entraînement Jedi avec un  sabre laser virtuel , en étant attaqué par un robot  se déplaçant là encore dans une ambiance sonore virtuelle.  Tout est rendu en son 3D binaural dynamique. C’est - à - dire que l’environnement s’adapte à l’orientation de l’auditeur.  Le sabre laser est lui aussi dynamique, e n étant  simulé par un téléphone tenu dans la main. Il peut donc être bougé dans tout l’espace pour encore plus de réalisme.  Le projet Para Sabre Laser est une déclinaison de l’Escrime, il est le prélude au dispositif également envisagé  dans  l’ensemble des disciplines. Il intègrera au fil du temps des règles de combat adaptées à partir des règles générales de la discipline. On en reparlera. 2 - Présentation de l’Atelier Cont e s sidéraux. L’atelier « Contes sidéraux » est un Sport et un  Art. Il mélange l’Escrime, la gymnastique, la danse et les Contes! Cette nouvelle discipline exigeante nécessite de la souplesse, de l’agilité et de l’endurance, mais également,  de la créativité et de l’imaginaire. Son expression gestuelle se caractérise  par un ensemble de chorégraphies traditionnelles de type solo, duo  ou ballets d’équipes en mode improvisation ou en synchronisé. MCV est affiliée à la FFPM Fédération Française de Pentathlon Moderne  MCV est une association sportive dont les actions portent sur les Activités Physiques Adaptées le Sport Partagé et la Culture. Son socle de base intègre la thématique du handicap. La section Théâtre devient « Contes Sidéraux » Pour sa septième année, l’atelier « Culturel » propose de s’embarquer entre le rêve et la réalité, où le réel  se confond avec le merveilleux, ouvrir les portes de mondes utopiques, absurdes ou fabuleux.  Chat ouiller son imagination et faire découvrir que les contes virtuels  aiment prendre les chemins  buissonniers et qu’ils ne s’adressent pas qu’aux enfants.  2 ateliers : 2.1 Atelier mode non DV 2.2 Atelier mode DV 2 .1 Atelier mode non DV A  développer 2 .2 Atelier mode DV A développer 3 - Combat et duel  chorégraphié: L’expression chorégraphiée, ainsi nommée,  au sabre laser est un mélange d’activité sportive et de discipline  artistique, où la dépense physique, très importante, côtoie allègrement le côté comédien, le tout incluant un  aspect visuel t rès inspiré par l’univers lié à cette arme emblématique. Les combats chorégraphiés laissent les pratiquants créer leur propre chorégraphie de combat avec un certain  nombre de mouvements imposés qui doivent s’inscrire  dans les règles de la pratique native de la discipline.  Ceci ayant pour objectif, la bivalence de la pratique éventuelle des activités partagées. L’expression chorégraphique repose sur 2 critères, la technique et l’artistique. Pour la partie artistique, l’ expression chorégraphiée s’appuie su r des  critères tels que :  la lisibilité du thème et de son développement ;  le rythme et la fluidité de la réalisation ;  la scénographie (ambiance sonore, costumes, etc.) ;  la gestuelle des combattants (précision, amplitude, diversité,  identification des formes) ;  l’utilisation de l’espace scénique ;  l’harmonie entre les combattants ;  l’interprétation. 4 - Les 7 formes de combat Il est important de noter que les données concernant les combats au sabre laser sont extrêmement  nombreuses et versatiles. Ainsi, la nomenclature même des Formes connut plusieurs versions. Nous avons  retenu ici la plus récente, datée du tournage de l'Episo de III, et dont l'étude est fondée sur des notes de  George Lucas lui - même à l'intention de Nick Gillard et des acteurs, lisibles dans les archives du Skywalker  Ranch, et dans certaines novélisations ou articles. Les informations complémentaires viennent  es sentiellement de l'étude des films.  D'autre part, pour alléger les exemples de chaque Forme, ne sont cités que des bretteurs dont les combats  sont visibles dans les films.  Shii - Cho            Forme I        Makashi            Forme II     Soresu            Forme III     Ataru            Forme IV       Djem So            Forme V     Niman            Forme VI     Juyo           Forme VII Forme I : Shii Cho Forme de la Détermination Initialement enseignée  à tous les novices, elle permet l’apprentissage des bases comme le maintien de l’arme,  posture de garde, déplacements, gestion de distance, donnant également au pratiquant le temps de  découvrir son arme, ses forces et ses points à a méliorer. Forme assez basique mais efficace, elle n’est pas réputée pour sa finesse car  développée pour l’utilisation du  sabre comme arme lourde : larges coupes, gros  dégâts mais peu  précise dans des mains  inexpérimentées . Sa  maitrise permet de la rendre p lus fluide tout en apportant une dose d’ imprévisibilit é ́ . Forme II : Makashi Forme de la Concentration Le  Makashi a  ét é ́ développ é ́ suite  a ̀ l’ émergence du  Shii Cho comme la forme de combat sabre contre sabre.  En effet il y avait peu voir e pas d’armes pouvant s’opposer  à un sabre laser, mis  à part un autre sabre laser.  C’est dans cette optique que le Makashi vit le jour.  Mélange gracieux et fluide de  défenses , d’e stocs et de contre - attaques, cette forme se  caractérise également par une  mobilit é ́ accrue afin de trouver une ouverture chez l’adversaire et de s’y engager. Elle  manque toutefois de puissance. Forme III : Soresu Forme de la Résilience Le  Soresu est une forme  conç u e pour la  défense . Son utilisation  protège son utilisateur au maximum, afin que  ce dernier puisse temporiser et voir les options s’offrant  a ̀ lui. Bien que la  volont é ́ de cette forme soit d’ éviter le combat dans un premier temps, elle o ffre un potentiel offensif non  négligeable principalement bas é sur  des parade - ripostes, contres attaques soudaines surprenant l’adversaire s’épuisant dans des attaques  répétées. Forme IV : Ataru Forme de l’Agression L’ Ataru se  caractérise par une utilisation accrue du terrain pour dominer et prendre l’ascendant sur son  adversaire.  Déplacements rapides, frappes successives, bonds, coups  sautés , utilisation totale de la zone de  combat sont les bases de l’ Ataru qui est une des formes les plus  éprouvantes du sabre. Elle requiert une  efficacité et une précision toute particulière sous peine d’épuisement du pratiquant et de voir la situation se  retourner contre lui. Forme V : Djem So Forme de la Persévérance L’ une des formes offensives de sabre les plus brutales qui soit.  Dériv é ́ du  Soresu , le  Djem So se voulait comme  une variante se  résumant par « La paix par une puissance de feu  supérieur ». Des attaques, des blocages suivis  de contre - attaques violentes et puissantes cherchant  à briser la garde de l’adversaire  caractérisent de  façon unique le  Djem So . Il repose sur la domination de l’adversaire, en opposition à l’apparente  passivit é ́ du  S oresu mais ses principaux  défauts sont son manque de  mobilit é ́ et l’exigence physique qu’il nécessite. Forme VI : Niman Forme de la Modération Le  Niman se veut comme la mise en synergie de toutes les formes précédentes. Alliant les bases  élémentaires  du Shii Cho , la  rapidit é ́ du  Makashi , la  défense du  Soresu , la  mobilit é ́ de l’ Ataru et la puissance du  Djem So ,  cette forme ne  présente pas de  réelles faiblesses mais ne donne pas un  réel avantage dans un secteur ou un  autre. Le  Niman donne un e plus grande aisance vis - à - vis d’une situation immédiate mais son manque de  spécialisation peut le limite rapidement. Les pratiquants de cette forme sont des combattants complets et  utilisent le  mélange des autres formes pour surprendre l’adversaire. Forme VII : Juyo Forme de la Férocité Le  Juyo est la forme de sabre la plus  controversée .  Mélange de  contrôle de soi en apparence et d ’ une expression de rage dans le maniement du sabre,  transformant l ’ arme en un tourbillon de coup directs, fulgurants et  imprévisibles . Cette forme repose sur une  base de feintes trompant l ’ adversaire avant de s’engouffrer dans la faille  créée et d’y enchainer une  série de  frappes jusqu’ à ce que l’attaque porte. C’est une forme exigeante physiquement, mentalement et  techniquement,  nécessitant une  connaissance de soi accrue pour éviter l’emballement lors de son exécution. ARTS JEDI Les  Arts Jedi désignent l'ensemble des  techniques de maniement du sabre laser propres aux Jedi et aux  Sith.  La Force La Force. était un champ d'énergie reliant tous les êtres vivants dans la galaxie. Le pouvoir de la Force pouvait  être utilisé par les individus y étant sensible grâce aux midi - chloriens. La Force était appelée de plusieurs  manières différentes. Ainsi les  Lasats, par exemple, y faisait référence sous le terme de  Ashla et la  décrivaient volontiers comme étant "l'Esprit de la galaxie". Pour des informations complémentaires, voir aussi les articles  la Force ,  Sabre laser ,  Jedi ,  Ordre  Jedi ,  Cercles Jedi ,  Ordre Sith . Historique     (voir Annexe II 6 – Nomenclatures : Formes et styles L'enseignement du maniement du sabre, arme de prédilection des  Chevaliers Jedi pendant 10 000 ans, est  synthétisé en une douzaine de Formes d'Arts Jedi ; le nom de "Forme" désigne à la fois les techniques  codifiées sur lesquelles repose le maniement du sab re laser, et l'ensemble des mouvements, passes,  enchaînements, parades et bottes propres à chaque style de combat.  Il existe de nombreux  Holocrons dont le contenu porte sur les Formes de maniement du sabre ; ils renferment  des informations historiques ou techniques et des notes personnelles de grands maîtres d'armes du passé,  sous la forme de mémoires, d'apprentissages initiatiques voire même de véritables traités.  Il existe cinq Formes dites  Primordiales , qui constituent les bases du maniement du sabre - laser et  représentent une majeure partie des techniques y afférentes. Outre ces cinq Primordiales, il existe cinq  autres Formes dites  secondaires , plus spécifiques ou plus complexes,  deux Formes tertiaires qui concernent  le maniement de deux sabres laser  ou du  double sabre laser , et  deux Formes quaternaires qui sont des  Formes combinées avec des pouvoirs préhensifs ou physiques, limitant l'utilisation du sabre laser.  Cependant, il faut noter que ce cloisonnement ancien, bien qu'utile pour l'apprentissage , n'est pas toujours  justifié en terme de pratique, et les combinaisons aboutissent à la création de styles mixtes ou hybrides. L 'apprentissage d'une Forme nécessite de nombreuses années d'entraînement, et n'est jamais véritablement  complet. D'autre part, une seule Forme ne peut suffire à une pratique polyvalente du sabre :  le style d'un  Jedi se crée en général à partir de plusieurs Formes, dont il apprend, combine et adapte les techniques pour  créer un style : chaque Jedi manie le sabre laser suivant ses  propres choix, personnels et uniques.  De fait, même si chaque Forme en soi représente un style à part entière, aucune n'est assez complète pour  s'adapter à toutes les situations. Après avoir appris les bases des Formes considérées comme nécessaires  par s es maîtres (variables selon les époques et les enseignements), chaque Jedi choisit quelques Formes de  combat qu'il approfondit pour créer ses propres styles de combat, selon ses goûts, ses capacités et ses  besoins. Certaines sont orientées vers l'attaque,  d'autres vers la défense, certaines sont spécifiques aux  duels, d'autres encore sont plus adaptées à l'usage des non - anthropoïdes ou à certains environnements. Il faut noter que l'utilisation d' attaques physiques (coups avec le corps ou les membres) et d' arts martiaux est souvent combinée aux Formes de maniement du sabre, mais ne fait pas l'objet d'une Forme à part ; ces  techniques sont intégrées dans les codes qui régissent les différentes Formes, ou utilisées spécifiquement  par les combattants : par exem ple dans le cas du  Teräs Käsi Mandalorien , l'un des principaux codes d'art  martiaux connus. 7 – Escrime. 7 .1 Principes d'escrime de base Il convient de rappeler que : - L' estoc est une attaque  transperçante effectuée par la pointe de la lame. - La  taille est une attaque de tranche effectuée avec une partie de la lame. - La  garde définit non pas la poignée du sabre mais la tenue du sabre lorsqu'il est immobile (ni en attaque, ni  en défense). 7 .2 Techniques spécifiques Les Arts Jedi furent codifiés sur  Ossus , et la langue primitive des Jedi, l' ossiun , servit à nommer les Formes  e t les différentes techniques.  Voici un petit vocabulaire.  - lahen = déclarer la victoire / demander la reddition de l'adversaire (autrefois lors de duels, maintenant  pendant les entraînements) - solah = déclarer forfait / demander la fin du combat par r eddition - kan = combat, affrontement (duel au sens large) - shii = escrime - kai = deux ( noter le nom des Formes X et XI, ainsi que les duels  Kai - kan ) - kei = plusieurs (indique le fait de porter plusieurs coups en un seul enchaînement) - cho (préfixe) /  cha (suffixe) = attaque de tranche par la lame, coupant profondément ou entièrement  l'objet cible -- shiim = attaque de tranche par la pointe, superficielle  (entaille) - shiak = attaque d'estoc - djem = attaque de neutralisation / désarmement - maï = la main armée - sun = le bras armé - mok ou  mak = un membre non armé (bras, jambe, autre) - tok = le tronc - saï (avec un  i fort ) = la tête - jung = rotation hori zontale corps - sabre - ton = rotation sagittale (verticale d'avant en arrière) corps - sabre (par saut ou roulade) - en = rotation frontale (verticale de droite à gauche ou vice - versa) corps - sabre (roue) - ma (suffixe) /  mou (préfixe) = enchaînement - shun =  rotation bras - sabre - su = saut d'attaque - sai (avec un  i faible ) = saut d'évasion - djem = désarmement - cho djem = destruction du sabre On peut donc construire les noms d'attaques ou d'enchaînements tels que :  - Le  Cho Maï = coupe profonde ou section de la main armée - Le  Cho Sun = coupe profonde ou section du bras armé - Le  Shiim Mok  = entaille d'un membre non armé - Le  Shiak Tok = estoc perçant le thorax ou l'abdomen - Un  Mou Kei = enchaînement fluide touchant plusieurs f ois, terme générique - Jung Ma = terme neutre : enchaînement de rotations horizontales - Ton Ma = terme neutre : enchaînement de rotations sagittales (sauts ou roulades) - En Ma = terme neutre : enchaînement de rotations frontales (sauts ou roues) - Jung S u Ma = enchaînement offensif, en combat, de rotations horizontales - Ton Su Ma = enchaînement offensif, en combat, de rotations sagittales (sauts ou roulades) - En Su Ma = enchaînement offensif, en combat, de rotations frontales (sauts ou roues) 8   -   Postures de garde       Différentes postures attaque /  défense.     Les postures de garde sont des postures où le sabre est dégainé, et le bretteur prêt à combattre. Chez les  Jedi, il s'agit de techniques à part entière qui impliquent une attitude face à l'adversaire et une préparation  à la Forme de combat utilis ée. 9.1   Postures neutres défensives.     Ces postures sont celles "par défaut" pour le Jedi, par essence et par définition. La posture neutre défensive  implique   : corps fixe ou mouvement lent, sabre dégainé tenu près du corps et placé transversalement par  rapport à la source de danger   ; la lame d oit se trouver dans la demi - sphère défensive face à l'adversaire.    Il s'agit d'une posture d'attente, explicitement non agressive, qui favorise la défense individuelle et la  communication (attitude non fermée face à l'adversaire, qui ne doit pas se sentir  en danger). 9.2   Postures neutres offensives.     Ces postures sont très utilisées en combat car elles s'associent mieux aux techniques d'attaque que les  neutres défensives. La posture neutre offensive implique   : corps en tension, prêt à des enchaînements ou  mobile selon la situation, sabre dans une attitude offensive   : lame pointée vers l'adversaire ou éloignée du  corps pour une attaque large, ou dans une position préparant un enchaînement. Il s'agit d'une posture active,  qui favorise l'attaque, le mouvement  et/ou l'intimidation.        9.3   Postures de duel.     Ces postures sont utilisées dans toutes les situations, tenant essentiellement au caractère du bretteur. Une  posture de duel implique une attitude difficile à interpréter   : contrairement aux postures neutres,   les  postures de duel permettent rarement de prévoir les actions du bretteur   ; ces postures sont en fait  déterminées par une impression esthétique susceptible d'influencer l'adversaire, de le déstabiliser. Il s'agit  d'une posture à visée "psychologique", q ui favorise le mouvement, l'élégance, l'imprévisibilité ou la surprise,  une attaque d'entrée, etc...        10   Formes.     10.1   Formes primordiales.     Les cinq Formes Primordiales constituent les fondements du maniement du sabre laser, au sens qu'elles sont  les pl us anciennes et les plus polyvalentes dans leur domaine propre, chacune possédant sa propre philosophie  et ses spécificités.      Les techniques de combat.     Au cours de l’année, les membres du club  apprennent une technique de combat différente basée sur les  différents type de maniement de sabre laser aperçus dans les films de la saga Star Wars.    Les membres apprennent les styles de combats qu’ils utiliseront pendant leurs chorégraphies de l’année.    A   chaque année correspond un style particulier.    Les 7 formes de combat que l’on peut retrouver dans l’univers étendu Star Wars sont les suivantes       Forme 1  –   Shii - cho     Des milliers d’années avant la Guerre des Clones, lorsque les épées métalliques furent r emplacées par des  sabres - lasers, la Forme I fut créée par les Maîtres Jedi à partir des anciennes traditions d’affrontement à  l’arme blanche, en conservant en partie les fondements de l’attaque, de la parade et du ciblage de zones  précises du corps, tout c omme les estocades.    Cependant, cette forme également appelée  la forme idéale   était évidemment un dérivé des arts anciens,  puisque les épées ne se maniaient pas avec autant d’aisance que les sabres lasers plus modernes. Cette forme  ne fut plus guère utilis ée par les chevaliers Jedi durant la période « émergence de l’Empire » mais resta  néanmoins enseigné aux novices et apprentis à leur plus jeune âge comme  « le fondement de l’art Jedi »   débouchant sur l’apprentissage des 6 autres formes. Forme 2  -   Makashi     Discipline de prédilection des plus grands duellistes de la Galaxie comme le comte  Dooku , la Forme II était  la plus raffinée des sept, portant la maîtrise de la lame à son plus haut niveau, elle était considérée comme le  raffinement ulti me des combats entre sabre laser.      Le principe consistait à porter des attaques puissantes et à se défendre en un minimum d’efforts. En  pratiquant ce style, l’individu développait donc un sens inégalé dans l’attaque et la défense. Les mouvements  devaient  être fluides de façon à anticiper tout revers de l’adversaire.      Malgré son efficacité technique, ce style fut pourtant délaissé par les Jedi de l’ancien Ordre, car peu  adéquate pour venir à bout des dangers modernes depuis qu’ils croyaient les Sith éteint s. En effet, durant  les temps anciens, les Jedi se battirent de façon récurrente contre les Sith et les  Jedi Noirs , ce qui leur  valu de développer cette technique afin de survivre face au côté obscur.      Cependant, à la fin des nouvelles guerres des Sith, c es derniers furent défaits et la forme II devint de moins  en moins pratiquée, la menace n’étant plus réelle. Elle laissa donc place peu à peu à la forme III, plus adaptée  à leurs missions de gardien de la paix et de la justice. En revanche, les Seigneurs N oirs, qui eux s’attendaient  à affronter des Jedi, n’hésitaient pas à l’étudier pour augmenter leur puissance technique.      Ainsi, même sous la  règle des deux , les Sith   continuèrent à la pratiquer en secret en attendant le jour de leur  revanche. Forme 3 -   Soresu     Développée suite à l’expansion massive des blasters dans la Galaxie, la Forme III fut adoptée par la majorité  des Jedi dans les dernières décennies de la Répub lique, car permettant une protection maximum face aux  tirs énergétiques grâce à son style composé de mouvements brefs et efficaces. Au fil des siècles, la Forme  III fut considérée comme une expression de la philosophie de défense et de non - agression des me mbres de  l’Ordre Jedi, comme le comprit  Obi - Wan Kenobi , qui en devint un formidable pratiquant après la mort de son  maître,  Qui - Gon Jinn .      Considéré comme une forme passive, le Soresu permettait donc par des mouvements rapides et précis de  neutraliser, tu er ou intimider son adversaire. Le praticien utilise donc des attaques et des parades ultra  rapides en réponse au blaster, et d’ailleurs cette forme de combat demande une concentration extrême ainsi  qu’une bonne affinité avec la force. Pour exemple, Obi - Wa n  Kenobi   était tellement à l’aise dans ce style qu’on  le vit dévier des tirs de blaster lui arrivant dans le dos et ce, sans même se retourner.      Bien que le Soresu soit une forme passive utilisée contre les blasters, il n’en demeure pas moins que les  comb ats aux sabres restent inévitables, mais comme le fit Kenobi, les Jedi respectaient la forme et essayant  de désarmer leurs adversaires. Ce fut évidemment le cas lors de son duel contre le général  Grievous   sur  Utapau . Mais comme toujours, même en duel, le S oresu restait une forme défensive tenant plus de la survie  que de la victoire, ce qui collait encore bien avec la philosophie Jedi quand il s’agissait d’épargner des vies. Forme 4 -   Ataru     Certainement la plus acrobatique et exigeante physiquement, la Forme IV nécessitait pour son utilisateur une  très grande connaissance de la Force et des ressources qu’elle offrait. Aussi connu sous le nom d’ Ataru , ce style entraînait d’époustouflants com bats qui donnaient la part belle aux  mouvements extrêmement rapides et élaborés, au sein desquels pouvaient être distingués les tournoiements  «   jung su ma «   , les sauts périlleux «   ton su ma   » et les roues «   en su ma «   . Bien qu’esthétique, l’Ataru  demandait   de grands mouvements et donc un grand espace.      Cela cumulé à la fatigue engendrée par cet art permit à  Dark Maul   de tuer  Qui - Gon Jinn , mettant donc en  évidence les faiblesses de cette forme de combat.
Forme 5 -Djem so Pour satisfaire le besoin de puissance de certains Jedi, comme Anakin Skywalker, la Forme V fut créée en même temps que la précédente. Il existait deux variantes de cette forme, le Shien et le Djem So, que l’on pouvait utiliser de façon alternative selon les situations. La forme V exploitait au maximum les mouvements d’attaque au sabre-laser, notamment pour passer du blocage d’un tir de blaster à son renvoi délibéré vers l’ennemi (Variation Shien). La variation Djem So fut développée par des Jedi qui trouvaient la forme IV trop passive. Le Djem So est spécifique au duel, elle est plus agressive et a la particularité que les praticiens tenaient toujours leurs sabres à deux mains. Pour certains Jedi, cette forme représentait une philosophie digne de répondre à toutes menaces; pour d’autres, le sentiment de domination qu’elle entraînait, cette quête inéluctable de puissance et de pouvoir, lui conférait un aspect dangereux. Forme 6 - Niman Appelée Niman ou encore « Forme des diplomates », la Forme VI correspondait à une des formes généralement étudiées par les Jedi, car exigeant moins d’endurance physique que les autres, et ce même si elle nécessitait en moyenne dix années d’entraînement pour en obtenir une parfaite maîtrise. En pratique, la Forme VI était une combinaison des Formes I, III, IV et V, et représentait pour beaucoup la quintessence de la technique de combat au sabre-laser, car s’accordant parfaitement à la recherche de l’harmonie et de la justice. A ce titre pour l’étudier, Cin Drallig préconisait une longue pratique préalable des autres formes pouvant s’échelonner jusqu’à 10 années. On parle de forme des diplomates puisque les Jedi cherchait toujours une issue pacifique dans le but de verser le moins de sang possible.
Forme 7   -   Vaapad     Le  Juyo   était le nom que l’on conférait au plus récent des styles de combat au sabre - laser, la Forme VII.  Difficile à maîtriser et très exigeante, cette forme était dangereuse aussi bien pour l’adversaire que pour  son pratiquant, ce qui en faisait généralement un e discipline réservée aux Maîtres les plus expérimentés, tel  Mace Windu .      Comparable dans une certaine mesure à la Forme V en terme de puissance, ce style demandait en effet de  son adepte un recours à des émotions très fortes qui, mal canalisées, pouvaien t évidemment le conduire sur  le chemin du Coté Obscur. Cette familiarité avec l’utilisation pervertie de la Force était d’autant plus évidente  quand on sait que le septième style était généralement préconisé par les Seigneurs Sith.      En revanche, lorsqu’el le était parfaitement utilisée en combat, la Forme VII consistait en une série de  mouvements directs et saccadés qui plongeaient l’adversaire sous une pluie de coups, rendant ainsi  imprévisible son pratiquant.     Certaines formes de combats ne sont pas appri ses en tant que telles dans l’académie pour laisser place à  d’autres formes plus diverses. Aussi dans l’académie les formes suivantes sont dispensées   :